Cathédrale de Rouen 11 juillet 15H
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Au programme :
Sing joyfully |
Salvator mundi |
O clap your hands together |
Orgue solo |
Three Motets: |
Beati quorum via |
Justorum animae |
Coelos ascendit hodie |
Bring us, O Lord God |
Lux aeterna |
The Blue Bird |
My soul, there is a country |
Située à l’origine rue de Vivienne, la librairie Galignani enchante les amoureux des livres depuis près de deux siècles. C’est d’ailleurs la toute première boutique dédiée à la littérature anglo-saxonne a avoir ouvert ses portes en France et sur le continent. Très vite, elle fut le repère des grands lettrés et intellectuels de notre temps : Stendhal, La Fayette, mais aussi des intellectuels anglo-saxons y ont pris leurs habitudes.
Située actuellement rue de Rivoli, la boutique ne manque pas de charme. Ses sublimes verrières et ses boiseries de style Belle Epoque donnent au lieu une atmosphère unique et reposante
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Fondateur d’une maison devenue symbole absolu du luxe parisien, Charles Frederick Worth (1825-1895), né en Angleterre, est une figure incontournable de l’histoire de la mode. A l’origine de la haute couture, Worth fonde la maison éponyme au 7 rue de la Paix, dont l’histoire se déploie sur quatre générations et près d’un siècle.
Présentée sur 1100 m2 au sein des grandes galeries du Petit Palais, cette rétrospective qui rassemble plus de 400 œuvres – vêtements, objets et accessoires, peintures, arts graphiques – se présente comme une vaste fresque revenant sur les créations de la maison Worth autant que sur les protagonistes qui en ont écrit l’histoire. Elle s’annonce hors normes, eu égard à la rareté et au nombre des pièces présentées provenant de prestigieuses collections internationales.
Du Second Empire aux Années Folles, une page d’histoire s’écrit : celle de l’invention de la figure du grand couturier et des mécanismes de création et de commercialisation de la mode encore en vigueur, et dont Worth pose les bases dès la fin du XIXe siècle.
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L’exposition propose un dialogue saisissant et inédit entre les chefs-d’œuvre du département des Objets d’art du musée et des pièces marquantes de l’histoire de la mode contemporaine, entre les années 1960 et 2025.
Au long d’un parcours au cœur même des collections du musée, sur près de 9 000 mètres carré, c’est une centaine de silhouettes et d’accessoires qui résonnent de manière tout à tour savante, émouvante et poétique, avec l’histoire des arts décoratifs, celle des styles, des métiers d’art et de l’ornement, illustrant les liens très étroits qui unissent la mode à l’art. Autant de prêts remarquables accordés pour la première fois par quarante-cinq maisons et créateurs parmi les plus emblématiques de l’histoire de la mode. Parmi celles-ci figurent quelques créateurs /créatrices britanniques : Alexander McQueen, Duro Olowu, Erdem,
Gareth Pugh, JW Anderson et Vivienne Westwood (voir ci-dessous)
Jusqu’au 24 août. Plus d’info
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Jusqu’au 22 juin, vous pouvez admirer, à la galerie MR8, une centaine de photographies,dont certaines inédites commentées par Terry Burns, demi-frère de David Bowie. Un voyage intime, émouvant, inédit à ce jour.
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Encore une information musicale car c’est l’ouverture des réservations pour la saison 25/26
Unis par une passion pour le folk traditionnel des îles britanniques, en ce qu’il porte la voix des opprimés, les neuf musiciens du Shovel Dance chantent la solidarité à travers le temps. Leur symphonie de banjos, harpes, flûtes, trombones et violons souffle une énergie apaisante et procure de grands frissons partagés. Explorant les relations entre la musique folklorique, la culture queer, le combat féministe et l’histoire de la classe ouvrière, le concert conjugue beauté, force et charge politique uniques.
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Découvrez la magie intemporelle des mélodies anglaises, depuis Didon et Énée d’Henry Purcell jusqu’au First Book of Songs or Ayres de John Dowland.
La folk anglo-saxonne, avec son duo iconique voix et guitare, puise ses racines dans la musique baroque, habitée par le luth et les mélodies envoûtantes de John Dowland et Henry Purcell. Autour de la complicité qui lie le luth de Thomas Dunford à la voix de Lea Desandre, l’Ensemble Jupiter tisse un récital conçu comme un véritable tour de chant où l’amour, la mélancolie et la passion se répondent dans une alchimie parfaite. Une immersion lumineuse et émouvante dans l’essence même de la musique.
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Les élèves du Conservatoire de Rouen donneront cette comédie musicale en guise de spectacle de fin d’année
Connaissez-vous l’histoire macabre du barbier Sweeney Todd et de Mrs Lovett qui cuisinait des tourtes à la saveur si singulière ?
Le réalisateur Tim Burton a tiré de cette légende du XIXe siècle un petit bijou de film dont s’inspireront les élèves de l’atelier comédie musicale du Conservatoire de Rouen.
Entre morbide et humour, les jeunes artistes n’ont pas su trancher : avec l’inventivité et l’énergie qui les caractérisent, ils vous plongeront dans un spectacle étrange que vous serez, bon sang ne saurait mentir, en veine de découvrir !
Spectacle Tout public dès 10 ans
Durée : 1h15 environ
Entrée gratuite, mais réservation conseillée :
ce spectacle de danse des Ballets Jazz Montréal n’aura lieu que les 14 et 15 novembre mais la billetterie de l’Opéra vient d’ouvrir pour les abonnements si vous voulez être sûr(e) d’avoir une place.
En 2015, Louis Robitaille, alors directeur artistique des Ballets Jazz Montréal, réalise un rêve : créer un ballet sur les grands classiques de Leonard Cohen. De Suzanne (1967) à Hallelujah (1984) en passant par Dance Me to the End of Love (1984) et des titres plus récents, tels que It Seemed the Better Way (2016), un spectacle est né : Dance Me – Musique de Leonard Cohen. Cette création exclusive pour quatorze danseurs, inspirée de l’œuvre du poète, artiste et auteur-compositeur d’origine montréalaise a été approuvée, de son vivant, par Leonard Cohen. À travers seize titres composés entre 1967 et 2016, l’hommage que lui rendent les Ballets Jazz Montréal évoque les grands cycles de l’existence.
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