Tous les articles par Nathalie Le Gendre

Triorca orchestra in Rouen

préparation du concert du vendredi 11 juillet 15h à la Cathédrale

Mercredi 9 juillet, nos amis de l’orchestre Triorca sont arrivés à Rouen.

Un autocar rempli de musiciens et un van pour les instruments

Installation en fin d’après-midi au Labo Victor Hugo (merci à Claudine pour l’accueil) puis dîner au Bouillon d’Or où nos amis anglais ont pu déguster des plats traditionnels. Deux d’entre eux ont même testé les escargots!

Jeudi 10 juillet , les répétitions ont débuté avec entrain dès le début de matinée et ce pendant toute la journée. L’ensemble Triorca est un ensemble de musique de chambre qui rassemble des jeunes musiciens de 16 à 26 ans des trois villes jumelles de Norwich: Koblenz en Allemagne, Novi Sad en Serbie et Rouen. Cette année, 3 jeunes normands ont rejoint le groupe : Frederico Xavier, Grégoire Capron et Oleksandr Bychkov.

Venez les écouter demain à 15H à la Cathédrale!

NLG

Choir of Royal Holloway

9 juillet 20H à l’abbatiale Saint Ouen

Un concert exceptionnel se tiendra le mercredi 9 juillet à 20h dans l’abbatiale Saint-Ouen de Rouen accueillant le Choir of Royal Holloway, l’un des plus prestigieux chœurs universitaires du Royaume-Uni, pour une soirée musicale rare mêlant chefs-d’œuvre du répertoire anglais et français, et comprenant notamment la première française d’un Magnificat contemporain dirigé par son compositeur.

Rupert Gough

Vous trouverez en pièce jointe le communiqué de presse complet avec toutes les informations pratiques.

Conférence Jane Austen

L’aventure d’une publication féministe

En dépit de la canicule, plus d’une trentaine de personnes étaient réunies à l’AVF (Accueil des Villes françaises) mercredi dernier pour suivre l’aventure rafraichissante et pleine d’anecdotes de la vie de Jane Austen dépeinte avec verve par Serge Van Den Broucke.

C’était la dernière conférence avant l’été. Nous vous donnerons le nouveau planning au mois de septembre.

Pour ceux qui ne souhaitent pas se replonger dans les romans, Serge nous a conseillé les films très fidèles de la BBC.

Une nouvelle toute récente:

L’actrice britannique Daisy Edgar-Jones sera la star du remake du film «Raison et Sentiments» actuellement en développement. 

Trente ans après la version cinématographique par Ang Lee du célèbre premier roman de Jane Austen, «Raison et Sentiment» va faire l’objet d’un nouveau long métrage. Daisy Edgar-Jones y incarnera Elinor Dashwood, a-t-on appris ce mercredi.La réalisation du nouveau film a été confiée à Georgia Oakley («Blue Jean») et le scénario à l’autrice australienne Diana Reid («Signs of Damage», «Love & Virtue», «Seeing Other People»). Sur son compte Instagram, cette dernière a déclaré que le tournage commencerait en juillet.

Enfin , un article de la voix du Nord qui explique pourquoi Jane Austen est la star des ados sur Tik Tok

NLG

Exposition So British

La Gacilly (Morbihan) jusqu’au 5 octobre


« Ce n’est donc pas un hasard, en ces temps tourmentés, si nous avons voulu accueillir sur nos terres bretonnes le regard décalé de nos cousins d’Outre-Manche qui savent si bien croquer notre époque, avec humour parfois, avec acidité souvent, avec lucidité toujours. Fascinante Angleterre. Nous allons souvent chercher l’exotisme bien loin. Il est peut-être plus proche qu’on ne le croit. Juste au nord de Douvres, par-delà les falaises. Entre la France et la Grande-Bretagne, c’est une longue histoire de mille ans, faite de malentendus et d’inimitiés, d’admiration et de respect. Sans doute parce que les Britanniques ne font rien comme les autres, surtout pas comme nous : ils roulent à gauche, ils ont leur propre monnaie, ils votent le Brexit, ils jouent aux fléchettes, ils croient aux fantômes et ont encore une monarchie. Et c’est probablement pour tout cela que nous les aimons. Ils ont leur singularité, leur créativité propre et ce brin d’excentricité qu’ils développent même dans les situations les plus sombres. Car au pays des costumes sobres et de l’éducation rigide, l’extravagance se cultive comme un art. Depuis Oscar Wilde, qui promenait un homard en laisse sur les quais de Londres, on sait que cette propension à défier l’entendement n’est pas nouvelle. Winston Churchill savait manier les mots et les calembours comme autant de piques pour ses adversaires. Les Monthy Python ont érigé l’humour loufoque et provocateur en véritable œuvre d’art, osant, ô sacrilège, tourner en dérision la vie du Christ ou celle, héroïque, du légendaire roi Arthur. Quant à George Brummel, « le roi de la mode », il passait quarante-cinq minutes à nouer sa cravate. À la fin de sa vie, exilé à Paris et harcelé par les créanciers, il donnait des réceptions imaginaires dans sa chambre de bonne, annonçant lui-même les invités fantômes dans la pièce vide. Les Beatles, les Rolling Stones ou même les Sex Pistols ont dynamité les mœurs mais ont toujours été de loyaux sujets de Sa Majesté. L’épopée anglaise regorge de ces personnalités qu’on juge déraisonnables ailleurs, mais qui, pour un Britannique, participent à l’identité d’un pays où le principe unificateur de la Couronne a toujours laissé place à la possibilité de se singulariser. Car l’irrévérence sert aussi l’idéal de la liberté. »

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Cyril DROUHET
Commissaire des expositions du Festival Photo La Gacilly

La librairie anglaise la plus ancienne de France

Galignani, rue de Rivoli

Située à l’origine rue de Vivienne, la librairie Galignani enchante les amoureux des livres depuis près de deux siècles. C’est d’ailleurs la toute première boutique dédiée à la littérature anglo-saxonne a avoir ouvert ses portes en France et sur le continent. Très vite, elle fut le repère des grands lettrés et intellectuels de notre temps : Stendhal, La Fayette, mais aussi des intellectuels anglo-saxons y ont pris leurs habitudes.

Située actuellement rue de Rivoli, la boutique ne manque pas de charme. Ses sublimes verrières et ses boiseries de style Belle Epoque donnent au lieu une atmosphère unique et reposante

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NLG

Exposition Charles Frederick Worth

au Petit palais jusqu’au 7 septembre

Fondateur d’une maison devenue symbole absolu du luxe parisien, Charles Frederick Worth (1825-1895), né en Angleterre, est une figure incontournable de l’histoire de la mode. A l’origine de la haute couture, Worth fonde la maison éponyme au 7 rue de la Paix, dont l’histoire se déploie sur quatre générations et près d’un siècle.

Présentée sur 1100 m2 au sein des grandes galeries du Petit Palais, cette rétrospective qui rassemble plus de 400 œuvres – vêtements, objets et accessoires, peintures, arts graphiques – se présente comme une vaste fresque revenant sur les créations de la maison Worth autant que sur les protagonistes qui en ont écrit l’histoire. Elle s’annonce hors normes, eu égard à la rareté et au nombre des pièces présentées provenant de prestigieuses collections internationales.

Du Second Empire aux Années Folles, une page d’histoire s’écrit : celle de l’invention de la figure du grand couturier et des mécanismes de création et de commercialisation de la mode encore en vigueur, et dont Worth pose les bases dès la fin du XIXe siècle.

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Quelques couturiers britanniques

exposition Louvres couture

L’exposition propose un dialogue saisissant et inédit entre les chefs-d’œuvre du département des Objets d’art du musée et des pièces marquantes de l’histoire de la mode contemporaine, entre les années 1960 et 2025. 

Au long d’un parcours au cœur même des collections du musée, sur près de 9 000 mètres carré, c’est une centaine de silhouettes et d’accessoires qui résonnent de manière tout à tour savante, émouvante et poétique, avec l’histoire des arts décoratifs, celle des styles, des métiers d’art et de l’ornement, illustrant les liens très étroits qui unissent la mode à l’art. Autant de prêts remarquables accordés pour la première fois par quarante-cinq maisons et créateurs parmi les plus emblématiques de l’histoire de la mode. Parmi celles-ci figurent quelques créateurs /créatrices britanniques : Alexander McQueen, Duro Olowu, Erdem,
Gareth Pugh, JW Anderson et Vivienne Westwood (voir ci-dessous)

Jusqu’au 24 août. Plus d’info

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