à propos de l’exposition The Winsor Tapestry au cartoon Museum de Londres
Thank you to Shay Kaur Grewal at @BBCradiolondon for having us on yesterday! Catch up on @BBCSounds to hear Steve Bell and Joe Sullivan discuss our new exhibition The Windsor Tapestry (skip forward to 1:14): https://ow.ly/zC1F50Ulvo6
SERGE VAN DEN BROUCKE (journaliste du patrimoine historique et Member of the Royal Historical Society-UK) nous a encore une fois régalés avec cette savoureuse conférence sur la gastronomie britannique.
Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’y assister, vous pourrez retrouver sous peu un podcast sur le sujet sur le site anglonormanhistory
10 jours de festival viennent de s’achever avec une 13ème édition très réussie tant pour la programmation que la fréquentation des salles souvent combles . Nous avons même refusé du monde pour 3 soirées.
Pour rappel, c’est le comité de jumelage du Rouen Norwich Club qui a créé, en 2012, ce festival dans le but de renforcer les relations entre les 2 villes et d’oeuvrer pour le développement des relations culturelles entre la France et le Royaume Uni. Avec 70 professionnel.le.s du cinéma venus cette année représenter un court-métrage, on peut dire que le pari est gagné.
Au fil des années l’équipe du festival (presque exclusivement constituée de bénévoles et tous adhérents au RNC) s’est agrandie ainsi que la liste des membres de l’association qui dépasse maintenant les 120 personnes.
Pour plus de détails, voici le lien vers le nouveau site (merci @hellodracon.com pour la construction du site et à Maxime Prieux (jls.phntm) pour tous les visuels) . Vous y trouverez notamment le palmarès et un retour en images sur chacune des soirées
Merci également à Laurent Thomas (@assos_rmth) pour ses superbes photos
La 14ème édition aura lieu du 15au 23 novembre 2025.
Jeudi 21 novembre 2018 a eu lieu le vernissage de l’exposition « The Windsor Tapestry » au Cartoon Museum à Londres (38 Wells Street – off Oxford Street), en présence d’une centaine d’invités dont un assez grand nombre de dessinateurs britanniques, Dave Brown et Nicola Jennings entre autres.
Après le discours de Steve, assez émouvant car il fait encore allusion à la blessure infligée par son limogeage du Guardian (vous pouvez en retrouver l’intégralité sur son blog) , je me suis autorisé quelques mots en anglais, en concluant par une note humoristique…
» Even if blood ties between William The Conqueror and Charles III are yet to be proved, it was an obvious choice to tell Charles’s life in the same way as his illustrious predecessor, and Steve definitely followed in Queen Mathilda’s footsteps, hand-embroidering this magnificent tapestry for the 42nd Salon International de la Caricature, du Dessin de Presse et d’Humour in St Just, near Limoges, in October 2023.
Today, this Tapestry is also an opportunity to correct a blunder by President Macron. Indeed, in January 2018, he promised Theresa May to lend Britain the Bayeux Tapestry, which never happened and probably never will. So, to avoid a diplomatic incident, to reassert the friendship between our two nations, to strengthen the Entente Cordiale, and despite Brexit, the Windsor Tapestry has now crossed the Channel to be exhibited here in London, at the Cartoon Museum.
Thank you very much indeed to Steve, and to the Cartoon Museum for hosting it in such a splendid fashion, and most importantly for helping me dispel Emmanuel Macron’s faux-pas. »
Soirée très intense qui, comme souvent en Angleterre, s’est terminée au pub.
L’exposition sera visible au Cartoon Museum jusqu’au 22 mars 2025. Donc, si vous passez par Londres d’ici là, n’hésitez pas à aller lui rendre visite.
Les britanniques s’inquiètent pour nos fromages normands
A consumer desire for homogeneity in cheese has come at a cost; just one strain of mould is now used in the production of Camembert (Credit: Getty Images)
Un article de la BBC sur la raréfaction des souches de ferments des fromages français.
Autour du millénaire de Guillaume le Conquérant pour 2027
2 jours de rencontres européennes avec des personnes qui arrivaient de Suède, du Danemark de Sicile, des Pouilles, du Royaume Uni, d’Irlande, des îles anglo-normandes à l’hôtel de Région à l’Abbaye aux dames de Caen . Le Rouen Norwich club et David Hynes, représentant du Norwich Charitable Trusts étaient également présents. Plus de 200 personnes réunies pour préparer et construire le projet qui aboutira à une année des Normands en 2027. Une vraie réflexion partagée a vu le jour comme en témoigne la superbe carte mentale réalisée par l’équipe organisatrice.
Un grand merci et un grand bravo à cette équipe pour l’accueil chaleureux, le planning très organisé et respecté, l’organisation innovante des ateliers de travail qui ont permis à tous d’échanger, de participer et de créer une belle dynamique qui permettra à ce beau projet de rayonner.
L’exposition Stephen Jones, chapeaux d’artiste au Palais Galliera présente l’œuvre de ce créateur britannique, sans conteste l’un des plus grands modistes contemporains, de ses premières collections dans les années 1980 jusqu’aux plus récentes.
Né en 1957 près de Liverpool, Stephen Jones se forme à la Saint Martin’s School of Art. Il ouvre sa première boutique à Londres en 1980, et propose très rapidement deux collections de chapeaux par an. Membre du mouvement londonien des « Nouveaux romantiques », c’est grâce à ses rencontres dans l’univers de la musique, notamment Boy George, que Stephen Jones fait ses premiers pas dans le monde de la mode. Il collabore avec la haute couture et tisse progressivement des liens étroits avec des maisons et stylistes de premier plan.
L’exposition explore plus particulièrement le lien que l’artiste entretient avec Paris, la culture française et la couture parisienne. Son arrivée dans la capitale et sa collaboration avec les maisons parisiennes ont en effet bouleversé sa vision de la mode et sa création. L’attachement à Paris transparaît à travers ses propres collections, par les sources d’inspiration et les thématiques choisies : symboles de Paris et de l’histoire de France, image de la parisienne, hommage aux couturiers français…
Riche de près de 400 œuvres, l’exposition réunit plus de 170 chapeaux, des archives du modiste (dessins préparatoires, photographies, extraits de défilés…) ainsi qu’une quarantaine de silhouettes complètes avec vêtements et chapeaux. Ces « looks » témoignent des liens de fidélité de Stephen Jones avec les plus grandes maisons, en particulier la maison Christian Dior, avec laquelle il collabore depuis près de trente ans. Devenu le plus « frenchy » des modistes anglais, ce personnage incontournable de la mode parisienne lui a insufflé toute sa créativité et son audace.