Eye of the storm
Ce film magnifique sur James Morrison est aussi l’occasion de faire d’autres rencontres.
On découvre l’artiste écossaise Joan Ardley, décédée en 2011, qui a peint avec beaucoup d’émotion les enfants pauvres de Glasgow.
![](https://i0.wp.com/2.bp.blogspot.com/-7kJfAJjqjEk/WOln1emjyuI/AAAAAAAANKQ/JJayv85UnSQYoDbSxE6UkxwFnsmqZ_zzwCLcB/s400/p04kcsc5.jpg?w=474&ssl=1)
On visite la maison de couleurs Sennelier, quai Voltaire à Paris, qui depuis 1887, vend des huiles extra-fines aux artistes exigeants.
On tombe sous le charme des animations de Catriona Black qui donne vie à certains souvenirs autobiographiques de James Morrison.
Et on se réjouit des liens déjà forts entre la France et l’Ecosse au travers des paysages de James Morrison qui font écho à ceux de Jean-François Millet , Claude Lorrain et de l’école de Barbizon
NLG