The Crown’s prizes included best drama series and four acting wins – for Gillian Anderson, Olivia Colman, Josh O’Connor and Tobias Menzies.
« What a lovely end to the most extraordinary journey with this lovely family, » Colman said of her final series playing Queen Elizabeth II.
« I loved every second of it and I can’t wait to see what happens next. »
Becoming emotional, she added: « I wish my dad was here to see this. I lost my daddy during Covid, and he would’ve loved all of this. »
The Crown’s victory in the best drama series category is not the first time a streaming service has won the top prize at the Emmys, but it does mark the first victory for Netflix.
Le jeudi 23 septembre à 20H à Kinepolis, film en VO sous-titrée sur le concert d’Oasis à Knebworth Park en 1996.
Avec une setlist remplie du début à la fin d’incontournables, dont Champagne Supernova, Wonderwall et Don’t Look Back In Anger, les concerts de Knebworth ont été à la fois l’apogée du succès du groupe et le rassemblement historique d’une génération.
Réalisé par Jake Scott à partir de nombreuses images de concert et d’images exclusives jamais vues auparavant, il s’agit d’une célébration cinématographique joyeuse et parfois poignante de l’un des événements musicaux les plus importants de ces 25 dernières années.
Nicholas Barber selects this month’s unmissable releases
Among which No Time To Die
At last! Its release has been delayed again and again, and before that its production was hampered by injuries, accidents and the withdrawal of its original director, Danny Boyle. But Daniel Craig’s final Bond movie is here – six whole years after the previous one, Spectre. Directed and co-written by Cary Joji Fukunaga and with Phoebe Waller-Bridge in the writer’s room (Fleabag / Killing Eve), the story is that 007 has retired from MI6 to settle down with his girlfriend (Léa Seydoux), leaving a new double-0 (Lashana Lynch) to save the world in his absence. But his CIA buddy Felix Leiter (Jeffrey Wright) persuades him to fight the devilishly named Lyutsifer Safin (Rami Malek). Oh – and Blofeld (Christoph Waltz) is up to no good, too. But the most intriguing aspect of No Time to Die is that it’s apparently a tear-jerker. « There’s a lot of emotion in this Bond, » Seydoux revealed to C Magazine. « It’s very moving. I bet you’re going to cry, if you like to cry. [When I watched it,] I cried, which is weird, because I play in it. »
Après avoir publié en janvier « Reminiscence » son second EP/5 titres, Joy Crookes vient de sortir coup sur coup « Since I Left You » puis « London Mine » deux nouvelles chansons qui démontrent toute l’étendue du talent incroyable de cette si jeune artiste.
Découvrez l’histoire du plus vieux magasin anglais de bonbons, de son propriétaire qui avoue en manger une livre par jour et des pontefract cakes, originaires du Yorkshire.
26 Août, 10h, un petit groupe guidé par Mme Delattre s’apprête à suivre la visite du cimetière St Sever à Petit Quevilly et plus particulièrement la section militaire britannique.
Ce n’est pas un lieu austère et triste que nous découvrons mais des stèles blanches soigneusement alignées dans un cimetière jardin conçu en 1917 par l’architecte paysagiste Reginal Blomfield.
11 436 soldats du Commonwealth tués lors de la 1ère guerre mondiale reposent dans le plus grand cimetière britannique de France. Depuis sont venues s’ajouter les tombes des soldats britanniques morts durant la seconde guerre mondiale et des canadiens décédés lors du débarquement à Dieppe le 19/08/1942.
Ce cimetière militaire est entretenu par 6 jardiniers du CWGC (Commonwealth War Graves Commission) qui a défini dès 1920 le paysage des cimetières britanniques dans les différents pays du monde : la croix du sacrifice, la pierre du souvenir et des pierres tombales blanches identiques, sans distinction de classe entre les soldats, garnies de fleurs et alignées à des espaces réguliers sur de la pelouse.
Pourquoi ce cimetière à Petit Quevilly ?
Dès le début de la 1ère guerre, Rouen devient la base arrière des anglais et c’est là que les blessés au front reviennent dirigés dans les hôpitaux militaires installés à Rouen et les communes environnantes. Ceux qui ne survivent pas sont alors inhumés dans ce cimetière retenu par l’armée Britannique dès le début de la guerre.
Un pan sombre de notre histoire nous est raconté en cette matinée mais c’est aussi la vie de la ville de Rouen marquée par la présence de nombreux militaires anglais en ce début du XXè siècle qui nous est révélée.
Une émouvante visite d’un lieu bien méconnu de nos concitoyens.